Partir, dans ces cas-là, n’est pas un échec.
C’est un acte de lucidité. Un geste d’amour envers soi-même, souvent mûri pendant des années. C’est dire : « Je veux encore vibrer, exister, respirer. »
Et si finalement, ce n’était pas fuir, mais avancer ?
Parce qu’à 40 ans, choisir sa paix intérieure, c’est peut-être la plus belle forme de fidélité à soi-même.
